Le couvent
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Le couvent
par Theyr Lun 29 Juil - 0:52
Le Couvent des Soeurs de la Miséricorde (V1.1)
Voici l'un des lieux les plus anciens de Constance. Son histoire se mêle à celle fort controversée de celui qui le fit bâtir : Anka.
De -4534 à 0 :
Téméria, Sainte-patronne du Couvent de la Miséricordieuse : A l'origine le couvent fut financé par l'Eglise de Téméria, la déesse oubliée, celle que certain nomment encore le Banquet de Fel, en référence au sort que l'Homme-dieu lui a fait. Pendant des centaines d'années les Vierges de Téméria y vouèrent un culte à leur déesse, au Service du ratzys et de Constance, elles étaient chargée de l'éducation des filles des nobles familles de Constance.
Presque toutes les archives de cette époque ont bien entendu disparues à la chute du Couvent. Mais l'histoire est connue et marque le début de la sulfureuse réputation du couvent. Ce que l'on sait c'est que la nuit du Fléau, durant laquelle Fel détruisit Téméria, les Fous de l'hospice voisin, perché sur le haut de la colline et devenu depuis la Maison des Fléaux, elle aussi à la charge de l'Ordre des Vierges Blanches de Téméria, se libérent, brûlèrent leur asile et fondirent sur le Temple. Leur Déesse ne leur vint pas en secours et elles furent violées, massacrées, d'autres atrocement mutilées, certaines même dévorées. Lorsque la Garde intervint, l'endroit était lui aussi en flammes ainsi que tous les lieux en Constance consacrés à la femme-déesse.
+1 :
Anka, Saint Patron du couvent de la Miséricorde : Le vassal, comme il fut surnommé prit en main les survivantes. Elles durent quitter le Temple, le temps que l'homme-dieu de l'Arcane des âmes et des énergies rebâtisse le lieu, le purifie et le consacre à nouveau.
+25 (grosso modo) :
Hélàs, alors que le nouveau couvent enfin s'achevait et que les soeurs venait de se réinstaller, Anka Aor fut à son tour terrassé par Gaëlle. Elle ne détruisit pas le temple, elle se contentera d'y faire se lever un immense chêne, un arbre de vie qui y est encore à ce jour. Pourquoi ? Nul ne le sait ou ceux qui le savent se gardent bien de le dire.
+25 à +133 :
[Info Maison des mères] Les rapports (journaux personnels, cahiers de repentences, documents officiels secret) des religieuses en place retraçant cette période sont étranges :
- Manifestations des âmes défuntes des vierges blanches ;
- Morts inexpliquées de Soeurs, sans qu'il soit possible de les ramener à la vie ;
- Présence de symboles étranges découvert dans la crypte de l'Oubliée dressée sous le temple en hommage aux martyres de Téméria ;
+ 02 à + 23 :
Soeur Josyne de Courbevoie, Mère-supérieure du Couvent de la Miséricorde : Elle fut nommée par Anka mère supérieure du couvent. Elle entreprit de rénover l'ordre, à l'image du temple de le faire renaître de ses cendres. Emule d'Anka de la première heure, elle lui accordait une Foi sans faille et encaissa très mal sa déchéance et sa disparition, elle sombra elle aussi peu à peu dans la folie. Si ses premières années à la tête du couvent furent prometteuses, les années qui suivirent furent désastreuses. Sa défiance des hommes-Dieux était devenu telle qu'elle refusa qu'un nouveau Saint-Patron soit nommé. Le couvent s'enferma sur lui-même, peu à peu la rumeur le désigna comme en endroit maudit. Seules les familles soucieuses de se débarrasser de leur progéniture encombrante, ou encore ceux continuèrent à recourir à leur service ou encore ceux qui ne voulaient pas voir leurs enfant pris en main par la brillante et prometteuse Grande Céphéide.
+13 :
Naissance de Shoena Shaw (Khan). Abandon et entrée au couvent.
+25 :
Départ de Shoena Shaw chez les Vierges d'Elya.
+23 à +132 :
Josyne de la molle disparut le jour des 21 ans de sa protégée Mathilde, fille née de la nuit du fléau. Elle était plus jeune, moins folle et plus ambitieuse et géra le couvent d'une main de fer pendant de très longues années. Elle se rapprocha du Saint consortium, au départ afin de lutter contre la Céphéides, mais elle sut en tirer tous les avantage réussissant à obtenir la gestion des Archives de constance, gage d'entrées financières régulières, elle ne parvint jamais vraiment à éteindre la rumeur sur le couvent mais la déplaça sensiblement en adoptant une vision et des méthodes proche de celles de l'Inquisition dans le couvent.
Elle mourut suite à une longue et douloureuse maladie en 132.
+78 :
Arrivée de Shoena "Khan" Shaw à Kandalyr.
+80 :
Naissance de Ventine en Orient.
+81 :
Cataclysme en Orient
+87 :
Naissance de Inès de Tarse
+97 :
Entrée de Ventine au couvent
+99 :
Entrée au couvent d'Inès de Tarse
+111 :
Nomination de Soeur Inès de tarse à la charge de directrice de Conscience ;
+130 :
Nomination de Soeur Ventine à la charge de Mère-héritière ;
+132 :
Mort de Mathilde le la Molle ;
Le Soeurs Ventine et de Tarse se disputent le pouvoir.
Soeur Ventine est enfermée dans les cachots.
Soeur Inès de Tarse est nommé Mère-supérieure du Couvent
+133 :
Soeur ephraënne est nommée directrice de conscience ?
[Infos Campagne]
Le Temple d'Anka et l'Arbre de Gaëlle :
Le couvent des soeurs de la miséricorde était sous les auspices d'Anka du temps où il était en odeur de sainteté. Sa déchéance et sa chute sonnèrent le glas pour les estimées soeurs et aussi vrai qu'Anka se corrompit, l'Ordre dégénéra et sa réputation devint de plus en plus sulfureuse, sans que jamais rien ne fut prouvé (ou plutôt sans qu'aucune affaire ne soit étouffée). Il a gardé le statut de temple ce qui assure une certaine impunité aux soeurs.
Le Grand orgue : Dans la salle principale, il y a un grand orgue. C'est une version simplifiée et miniaturisée du véritable Grand Orgue d'Anka fabriqué au coeur de la crypte des oubliées.
La Crypte des oubliées :
Avant de bâtir son Temple, Anka a fait construire un mausolée dédié aux âmes de Téméria et de ses suivantes du Temple. C'est un vaste ensemble mortuaire sous-terrain dans lequel on a assemblé toutes les tombes des défuntes soeurs de la Miséricorde.
Leur âme n'ayant pu trouver le repos, elle y errent car Anka a cloisonné les lieux afin qu'elles ne puissent nuire aux alentours. Quelques-unes ont échappé à l'enchantement et rôdent autour du couvent : certaines rumeurs parlent d'elles comme les Dames Blanches de la Miséricorde.
Les Soeurs ont continué d'y enterrer leurs défuntes mères supérieures, les autres vont au cimetière.
On y accède par les sous-sols des Archives.
Voici l'un des lieux les plus anciens de Constance. Son histoire se mêle à celle fort controversée de celui qui le fit bâtir : Anka.
De -4534 à 0 :
Téméria, Sainte-patronne du Couvent de la Miséricordieuse : A l'origine le couvent fut financé par l'Eglise de Téméria, la déesse oubliée, celle que certain nomment encore le Banquet de Fel, en référence au sort que l'Homme-dieu lui a fait. Pendant des centaines d'années les Vierges de Téméria y vouèrent un culte à leur déesse, au Service du ratzys et de Constance, elles étaient chargée de l'éducation des filles des nobles familles de Constance.
Presque toutes les archives de cette époque ont bien entendu disparues à la chute du Couvent. Mais l'histoire est connue et marque le début de la sulfureuse réputation du couvent. Ce que l'on sait c'est que la nuit du Fléau, durant laquelle Fel détruisit Téméria, les Fous de l'hospice voisin, perché sur le haut de la colline et devenu depuis la Maison des Fléaux, elle aussi à la charge de l'Ordre des Vierges Blanches de Téméria, se libérent, brûlèrent leur asile et fondirent sur le Temple. Leur Déesse ne leur vint pas en secours et elles furent violées, massacrées, d'autres atrocement mutilées, certaines même dévorées. Lorsque la Garde intervint, l'endroit était lui aussi en flammes ainsi que tous les lieux en Constance consacrés à la femme-déesse.
+1 :
Anka, Saint Patron du couvent de la Miséricorde : Le vassal, comme il fut surnommé prit en main les survivantes. Elles durent quitter le Temple, le temps que l'homme-dieu de l'Arcane des âmes et des énergies rebâtisse le lieu, le purifie et le consacre à nouveau.
+25 (grosso modo) :
Hélàs, alors que le nouveau couvent enfin s'achevait et que les soeurs venait de se réinstaller, Anka Aor fut à son tour terrassé par Gaëlle. Elle ne détruisit pas le temple, elle se contentera d'y faire se lever un immense chêne, un arbre de vie qui y est encore à ce jour. Pourquoi ? Nul ne le sait ou ceux qui le savent se gardent bien de le dire.
+25 à +133 :
[Info Maison des mères] Les rapports (journaux personnels, cahiers de repentences, documents officiels secret) des religieuses en place retraçant cette période sont étranges :
- Manifestations des âmes défuntes des vierges blanches ;
- Morts inexpliquées de Soeurs, sans qu'il soit possible de les ramener à la vie ;
- Présence de symboles étranges découvert dans la crypte de l'Oubliée dressée sous le temple en hommage aux martyres de Téméria ;
+ 02 à + 23 :
Soeur Josyne de Courbevoie, Mère-supérieure du Couvent de la Miséricorde : Elle fut nommée par Anka mère supérieure du couvent. Elle entreprit de rénover l'ordre, à l'image du temple de le faire renaître de ses cendres. Emule d'Anka de la première heure, elle lui accordait une Foi sans faille et encaissa très mal sa déchéance et sa disparition, elle sombra elle aussi peu à peu dans la folie. Si ses premières années à la tête du couvent furent prometteuses, les années qui suivirent furent désastreuses. Sa défiance des hommes-Dieux était devenu telle qu'elle refusa qu'un nouveau Saint-Patron soit nommé. Le couvent s'enferma sur lui-même, peu à peu la rumeur le désigna comme en endroit maudit. Seules les familles soucieuses de se débarrasser de leur progéniture encombrante, ou encore ceux continuèrent à recourir à leur service ou encore ceux qui ne voulaient pas voir leurs enfant pris en main par la brillante et prometteuse Grande Céphéide.
+13 :
Naissance de Shoena Shaw (Khan). Abandon et entrée au couvent.
+25 :
Départ de Shoena Shaw chez les Vierges d'Elya.
+23 à +132 :
Josyne de la molle disparut le jour des 21 ans de sa protégée Mathilde, fille née de la nuit du fléau. Elle était plus jeune, moins folle et plus ambitieuse et géra le couvent d'une main de fer pendant de très longues années. Elle se rapprocha du Saint consortium, au départ afin de lutter contre la Céphéides, mais elle sut en tirer tous les avantage réussissant à obtenir la gestion des Archives de constance, gage d'entrées financières régulières, elle ne parvint jamais vraiment à éteindre la rumeur sur le couvent mais la déplaça sensiblement en adoptant une vision et des méthodes proche de celles de l'Inquisition dans le couvent.
Elle mourut suite à une longue et douloureuse maladie en 132.
+78 :
Arrivée de Shoena "Khan" Shaw à Kandalyr.
+80 :
Naissance de Ventine en Orient.
+81 :
Cataclysme en Orient
+87 :
Naissance de Inès de Tarse
+97 :
Entrée de Ventine au couvent
+99 :
Entrée au couvent d'Inès de Tarse
+111 :
Nomination de Soeur Inès de tarse à la charge de directrice de Conscience ;
+130 :
Nomination de Soeur Ventine à la charge de Mère-héritière ;
+132 :
Mort de Mathilde le la Molle ;
Le Soeurs Ventine et de Tarse se disputent le pouvoir.
Soeur Ventine est enfermée dans les cachots.
Soeur Inès de Tarse est nommé Mère-supérieure du Couvent
+133 :
Soeur ephraënne est nommée directrice de conscience ?
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[Infos Campagne]
Le Temple d'Anka et l'Arbre de Gaëlle :
Le couvent des soeurs de la miséricorde était sous les auspices d'Anka du temps où il était en odeur de sainteté. Sa déchéance et sa chute sonnèrent le glas pour les estimées soeurs et aussi vrai qu'Anka se corrompit, l'Ordre dégénéra et sa réputation devint de plus en plus sulfureuse, sans que jamais rien ne fut prouvé (ou plutôt sans qu'aucune affaire ne soit étouffée). Il a gardé le statut de temple ce qui assure une certaine impunité aux soeurs.
Le Grand orgue : Dans la salle principale, il y a un grand orgue. C'est une version simplifiée et miniaturisée du véritable Grand Orgue d'Anka fabriqué au coeur de la crypte des oubliées.
La Crypte des oubliées :
Avant de bâtir son Temple, Anka a fait construire un mausolée dédié aux âmes de Téméria et de ses suivantes du Temple. C'est un vaste ensemble mortuaire sous-terrain dans lequel on a assemblé toutes les tombes des défuntes soeurs de la Miséricorde.
Leur âme n'ayant pu trouver le repos, elle y errent car Anka a cloisonné les lieux afin qu'elles ne puissent nuire aux alentours. Quelques-unes ont échappé à l'enchantement et rôdent autour du couvent : certaines rumeurs parlent d'elles comme les Dames Blanches de la Miséricorde.
Les Soeurs ont continué d'y enterrer leurs défuntes mères supérieures, les autres vont au cimetière.
On y accède par les sous-sols des Archives.
Theyr- Admin
- Messages : 1680
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Age : 53
Localisation : BZH -
Re: Le couvent
par Theyr Dim 26 Juil - 10:16
Preambule
La création du convent " les sœurs de la miséricorde" date de quelques siècle déjà, 999 ans pour être plus précis. Et Theia compte bien faire du 1000eme anniversaire quelque chose de particulièrement...festif. Un splendide sacrifice humain avec en entrée filet de boyaux aux abricots, puis rognons farcis à la cuisse façon tartare, Trou constancien dans le crane de cette vieille salope. Boudin sigmoïdique à la fève de glandes mammaire. Sorbet aux fruits rouge et lichen fleurit avec foie herbo-fermentatique alcoolisé au rhum baignant dans une soupe de bile pour enchaîner sur un délicieux plateau de cervelle fluoro-neuro-spongielle poêlée dans son lit de moelle épinière au champignons fluorescent.
"Ha elle voulait me faire étudier la cuisine la salope.. et bien elle va être servie !...sur un plateau. " ricana-t-elle en se frottant les mains. Les spécialités Drows sont hélas des mets trop souvent ignorés du grand public.
Mais ce programme culinaire ne serait dégusté que par l'hôte des lieux : Valmelilwa.
BG et definition du couvent
L'histoire de ce couvent est ...sans histoire. Il fut donc créé il y a fort longtemps et à l'origine comme un orphelinat pour fille. Etrangement, les garçons ne se perdent quasiment jamais...car l'armée ou la garde sait toujours quoi en faire. D'autant plus qu'un garçon a toujours plus de valeur qu'une fille et aucune famille ne saurait vous dire le contraire.
Les Soeurs de la Miséricorde est un couvent plus que respectable et respecté de la société Constantine. Récuperant ainsi les filles illégitimes, les petites pauvres, les vieilles livrées à la rue et autres filles rejetés par une famille qui ne saurait quoi en faire.
Le couvent récupère donc et prend en charge ces laissées pour compte.
Avant l'arrivée des hommes Dieux elle fut sous l'égide de Temeria mais depuis l'arrivée de l'UN, elle ne prend guère parti pour telle ou telle croyance.
Nous trouvons donc un spectre assez large de filles issues de différents cultes : des Isalyennes, des Breonistes, des Grands Espritistes ( lol mdr). etc
Il est à noter toutefois l'absence formelle de Felistes et de Zephaliennes...Oui, en effet cette dernière est discrètement appelée par les sœurs du couvent : la putain.. Ce qui en dit long sur certaines" libertés"..vivement vilipendées voir même interdites.
Comme l'argent reste toujours un soucis pour la gestion d'une telle organisation, cette orphelinat se transforma bien assez tôt en couvent pour petites nanties. A notre époque, celui ci accepte les filles issues de la noblesse ou bien encore des riches familles marchandes. Mais la charité veut que , parfois, certaines pauvres soient accueillies au sein de ce couvent...pour finalement se retrouver à faire les taches les plus ingrates.
Le Couvent est assez hermétique au monde extérieur et parait aux yeux de la population comme étant une structure bien austère. Mais son utilité est de notoriété public : les filles y sont bien traités, elles ont le couvert et le toit ainsi qu'un devoir attaché à l'entretien des livres de la bibliothèque de Constance.
Lorsqu'on en sort c'est pour deux raisons :
Quelques privilégiées peuvent sortir afin de participer au marché, à l’ achat ou à la vente de tissus quant aux autres , elles restent cantonnées à leur taches à l'intérieur du couvent.
La seconde raison est aussi le second but, plus pragmatique, de ce couvent : celui de placer au moyen de mariages arrangés les jeunes filles les plus belles ou les plus riches.
Ainsi donc, Le couvent n'etait ni plus ni moins la façade qu'une societé hypocrite avait façonné.
Il peut donc paraître bien étrange qu'une fille ayant à la base tout pour elle, décide d'y entrer. Ce fut pourtant le cas de Theia-Draé.
Le couvent n'est pas uniquement un bête réservoir de jeunes filles délaissées. C'est aussi un lieu ou s'articule la societé Constanciennoise. En effet , preparer certaines jeunes filles à leur futur role d'epouse et de mere accomplie necessite une education stricte et rigoureuse. Comme l'on ne sait jamais vraiment à l'avanc qui pourra trouver tel arrangement, toutes recoivent la même education. Elle sont particulierement lettrées et instruites, savent converser et s'adonner à l'exercice Lyrique. Elles ont par ailleurs, recue l'education des manieres. Elles ont bien evidement appris les arts culinaires et de la couture.
C'est tout cela qui interessait cette nouvelle venue...enfin presque tout si l'on fait exception de la cuisine.
Ce n'est pas tant l'arrivée de Theia draé que sa rencontre avec Valmelilwa qui changera profondement le culte.
[ extrait du BG de Theai Draé]
La mere superieur du couvent jugea bon de depoussierer tout ces vieux livres qui sedimentaient dans quelques armoires à moitiée pourries des sous sols d'un couvent. Des lustres qu'ils etaient là à attendre le feu charitable et liberateur. Des rangées et des rangées de livres furent ainsi deblayées par Ventine avant de voir une armoire s'effondrer sur elle même. L'ayant accablé d'une tache si ingrate, elle jura entre ses dents quelques mots indelicats à l'egard de la mere superieur . En effet, Etre seule dans le noir humide d'une cave avec un candrelabre en fin de vie pour tout eclairage et de se prendre ensuite une armoire sur la figure ne la mettait pas necessairement dans une bonne disposition envers sa commanditaire.
Mais la curiosité vint prendre le relais sur la haine lorsque le mur supposé epais de la cave laissa passer un etrange sifflement propre au vent qui s'echappe d'une fissure. Un bref aller retour allait la munir d'une torche et d'un maillet afin d'en percer le mystere en même temps que le mur. Il n'etait pas question pour elle d'en parler à la mere superieur " ho ça non, cette garce n'aura pas mon tresor" ce dit elle, parce qu'il etait evident qu'un tel mur n'ait que pour seule fonction celle de cacher pareil chose!
Quelques heures passées au marteau eurent raisons de cette douce melodie d'eboulement. Un passage c'etait formé. Il etait temps pour Theia de s'emmitoufler dans sa robe de bure avant de passer la frontiere...
La rencontre avec Valmelilwa fut des plus....flippante... la plus flippante de toute sa vie. Cette femme à la fois belle et intemporelle, gracieuse et silencieuse se tenait là assise sur le marbre d'un caveau avant d'avancer vers elle.
L'une sentait la mort , l'autre : la vie. Et dans cette polarité , elles se retrouverent presque nez à nez.
"Ton odeur..hmmmm..oui.. me dit quelque chose...certainement ..oui " dit elle à la demi drow, d'un etrange sourire carnassier.
[......]
De cet entretient, Theia n'en sera jamais plus la même. Revant à present de vie eternelle, de pouvoir et autres richesses en echange d'informations, de protections et d'un recrutement de drakons.....
Theia en appela secretement à Ines puis commença à fermenter quelques plans obscurs derriere le dos de la mere superieur.
"Bientot Ines...bientot je prendrai le controle de ce foutu couvent...bientot je prendrai ma revanche mere.."
Theia se tourna vers Ines en se lechant la main gauche , tel un chat.
Depuis, ce jour il existe une partie secrete au couvent : un groupuscule s'est formé à l'ainsi de la Mere Superieur afin d'espionner et d'infiltrer les familles nobles, les differents pents de la societé. cette societe secrete en devenir cherche à infiltrer les milieux du pouvoir etatique et bien evidement poursuit ses recherches en quetes de ralliement des Drakons...sous la coupole du pouvoir de Valmelilwa.
Corrompre les jeunes filles du couvent afin de repondre à ces nouveaux besoins necessite un certain nombre de precaution et de preparation. Pour le moment il est prevu de commencer par faire le menage.. Et la mere superieur fait partie des poussieres.
La création du convent " les sœurs de la miséricorde" date de quelques siècle déjà, 999 ans pour être plus précis. Et Theia compte bien faire du 1000eme anniversaire quelque chose de particulièrement...festif. Un splendide sacrifice humain avec en entrée filet de boyaux aux abricots, puis rognons farcis à la cuisse façon tartare, Trou constancien dans le crane de cette vieille salope. Boudin sigmoïdique à la fève de glandes mammaire. Sorbet aux fruits rouge et lichen fleurit avec foie herbo-fermentatique alcoolisé au rhum baignant dans une soupe de bile pour enchaîner sur un délicieux plateau de cervelle fluoro-neuro-spongielle poêlée dans son lit de moelle épinière au champignons fluorescent.
"Ha elle voulait me faire étudier la cuisine la salope.. et bien elle va être servie !...sur un plateau. " ricana-t-elle en se frottant les mains. Les spécialités Drows sont hélas des mets trop souvent ignorés du grand public.
Mais ce programme culinaire ne serait dégusté que par l'hôte des lieux : Valmelilwa.
BG et definition du couvent
L'histoire de ce couvent est ...sans histoire. Il fut donc créé il y a fort longtemps et à l'origine comme un orphelinat pour fille. Etrangement, les garçons ne se perdent quasiment jamais...car l'armée ou la garde sait toujours quoi en faire. D'autant plus qu'un garçon a toujours plus de valeur qu'une fille et aucune famille ne saurait vous dire le contraire.
Les Soeurs de la Miséricorde est un couvent plus que respectable et respecté de la société Constantine. Récuperant ainsi les filles illégitimes, les petites pauvres, les vieilles livrées à la rue et autres filles rejetés par une famille qui ne saurait quoi en faire.
Le couvent récupère donc et prend en charge ces laissées pour compte.
Avant l'arrivée des hommes Dieux elle fut sous l'égide de Temeria mais depuis l'arrivée de l'UN, elle ne prend guère parti pour telle ou telle croyance.
Nous trouvons donc un spectre assez large de filles issues de différents cultes : des Isalyennes, des Breonistes, des Grands Espritistes ( lol mdr). etc
Il est à noter toutefois l'absence formelle de Felistes et de Zephaliennes...Oui, en effet cette dernière est discrètement appelée par les sœurs du couvent : la putain.. Ce qui en dit long sur certaines" libertés"..vivement vilipendées voir même interdites.
Comme l'argent reste toujours un soucis pour la gestion d'une telle organisation, cette orphelinat se transforma bien assez tôt en couvent pour petites nanties. A notre époque, celui ci accepte les filles issues de la noblesse ou bien encore des riches familles marchandes. Mais la charité veut que , parfois, certaines pauvres soient accueillies au sein de ce couvent...pour finalement se retrouver à faire les taches les plus ingrates.
Le Couvent est assez hermétique au monde extérieur et parait aux yeux de la population comme étant une structure bien austère. Mais son utilité est de notoriété public : les filles y sont bien traités, elles ont le couvert et le toit ainsi qu'un devoir attaché à l'entretien des livres de la bibliothèque de Constance.
Lorsqu'on en sort c'est pour deux raisons :
Quelques privilégiées peuvent sortir afin de participer au marché, à l’ achat ou à la vente de tissus quant aux autres , elles restent cantonnées à leur taches à l'intérieur du couvent.
La seconde raison est aussi le second but, plus pragmatique, de ce couvent : celui de placer au moyen de mariages arrangés les jeunes filles les plus belles ou les plus riches.
Ainsi donc, Le couvent n'etait ni plus ni moins la façade qu'une societé hypocrite avait façonné.
Il peut donc paraître bien étrange qu'une fille ayant à la base tout pour elle, décide d'y entrer. Ce fut pourtant le cas de Theia-Draé.
Le couvent n'est pas uniquement un bête réservoir de jeunes filles délaissées. C'est aussi un lieu ou s'articule la societé Constanciennoise. En effet , preparer certaines jeunes filles à leur futur role d'epouse et de mere accomplie necessite une education stricte et rigoureuse. Comme l'on ne sait jamais vraiment à l'avanc qui pourra trouver tel arrangement, toutes recoivent la même education. Elle sont particulierement lettrées et instruites, savent converser et s'adonner à l'exercice Lyrique. Elles ont par ailleurs, recue l'education des manieres. Elles ont bien evidement appris les arts culinaires et de la couture.
C'est tout cela qui interessait cette nouvelle venue...enfin presque tout si l'on fait exception de la cuisine.
Ce n'est pas tant l'arrivée de Theia draé que sa rencontre avec Valmelilwa qui changera profondement le culte.
[ extrait du BG de Theai Draé]
La mere superieur du couvent jugea bon de depoussierer tout ces vieux livres qui sedimentaient dans quelques armoires à moitiée pourries des sous sols d'un couvent. Des lustres qu'ils etaient là à attendre le feu charitable et liberateur. Des rangées et des rangées de livres furent ainsi deblayées par Ventine avant de voir une armoire s'effondrer sur elle même. L'ayant accablé d'une tache si ingrate, elle jura entre ses dents quelques mots indelicats à l'egard de la mere superieur . En effet, Etre seule dans le noir humide d'une cave avec un candrelabre en fin de vie pour tout eclairage et de se prendre ensuite une armoire sur la figure ne la mettait pas necessairement dans une bonne disposition envers sa commanditaire.
Mais la curiosité vint prendre le relais sur la haine lorsque le mur supposé epais de la cave laissa passer un etrange sifflement propre au vent qui s'echappe d'une fissure. Un bref aller retour allait la munir d'une torche et d'un maillet afin d'en percer le mystere en même temps que le mur. Il n'etait pas question pour elle d'en parler à la mere superieur " ho ça non, cette garce n'aura pas mon tresor" ce dit elle, parce qu'il etait evident qu'un tel mur n'ait que pour seule fonction celle de cacher pareil chose!
Quelques heures passées au marteau eurent raisons de cette douce melodie d'eboulement. Un passage c'etait formé. Il etait temps pour Theia de s'emmitoufler dans sa robe de bure avant de passer la frontiere...
La rencontre avec Valmelilwa fut des plus....flippante... la plus flippante de toute sa vie. Cette femme à la fois belle et intemporelle, gracieuse et silencieuse se tenait là assise sur le marbre d'un caveau avant d'avancer vers elle.
L'une sentait la mort , l'autre : la vie. Et dans cette polarité , elles se retrouverent presque nez à nez.
"Ton odeur..hmmmm..oui.. me dit quelque chose...certainement ..oui " dit elle à la demi drow, d'un etrange sourire carnassier.
[......]
De cet entretient, Theia n'en sera jamais plus la même. Revant à present de vie eternelle, de pouvoir et autres richesses en echange d'informations, de protections et d'un recrutement de drakons.....
Theia en appela secretement à Ines puis commença à fermenter quelques plans obscurs derriere le dos de la mere superieur.
"Bientot Ines...bientot je prendrai le controle de ce foutu couvent...bientot je prendrai ma revanche mere.."
Theia se tourna vers Ines en se lechant la main gauche , tel un chat.
Depuis, ce jour il existe une partie secrete au couvent : un groupuscule s'est formé à l'ainsi de la Mere Superieur afin d'espionner et d'infiltrer les familles nobles, les differents pents de la societé. cette societe secrete en devenir cherche à infiltrer les milieux du pouvoir etatique et bien evidement poursuit ses recherches en quetes de ralliement des Drakons...sous la coupole du pouvoir de Valmelilwa.
Corrompre les jeunes filles du couvent afin de repondre à ces nouveaux besoins necessite un certain nombre de precaution et de preparation. Pour le moment il est prevu de commencer par faire le menage.. Et la mere superieur fait partie des poussieres.
Theyr- Admin
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Re: Le couvent
par Theyr Dim 26 Juil - 10:16
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xxxx
Les Sœurs de la Miséricorde.
Le couvent des Soeurs est situé à Constance. Les Soeurs sont très liées à la noblesse de Constance et notamment dit-on aux "trois familles". Les mauvaises langues affirment que la noblesse de Constance se défausse systématiquement de ses bâtardes, de ses filles mères, de ses cadettes et de ses infirmes dans ce couvent et que nombre de celles qui ont "choisi de consacrer leur vie à la prière et à la spiritualité" ne se sont vu offrir aucun choix.
Où le couvent est il situé ?
Ce couvent est installé au sein de Constance, dans le quartier des temples. Il existe depuis longtemps. Ses vocations officielles/officieuses/ n’ont pas évolué depuis des décennies:
Qui accueille t’il ?
Le couvent accueille des jeunes filles de toutes les confessions. La sélection sociale est en revanche importante : noblesse et familles riches. + éventuelles exceptions car « les pauvres aussi ont une âme ».
Les novices qui entrent au couvent y sont placées par leurs familles en vue de leur éducation soit parce qu’elles ont « entendu l’appel divin. »
Les novices sortent du couvent à leur majorité pour un mariage arrangé. Beaucoup de celles qui ont « entendu l’appel » sont en revanche des religieuses « malgré elles » : ce sont des bâtardes, des cadettes sans dot, des infirmes, des filles mères que leurs familles veulent cacher et que personne ne songe ensuite à réclamer. Parmi celles là, quelques unes deviennent des vestales dans des temples, d’autres sont mariées à des prétendants nobles eux-mêmes « incasables » à qui leurs familles souhaitent faire prendre femme. La plupart resteront cloîtrées jusqu’à la mort.
Le couvent rend un hommage au Panthéon dans son ensemble et non à un HD en particulier.
Qu’y fait on ?
Les novices sont astreintes à un régime de prières, d’artisanat (broderie…) et reçoivent quelque enseignement.
Le couvent gère partie de la Bibliothèque et des Archives de Constance. Sont affectées à cette tache des religieuses plus toutes jeunes (ou des pistonnées) car les novices n’ont pas vocation à être en contact avec le monde extérieur. La bibliothèque et les archives permettent au couvent d’avoir accès aux secrets pas propres de la noblesse de Constance.
Le couvent est un endroit fermé ! Celles qui y entrent vont pour la plupart y passer leur adolescence ou leur vie entière. Les novices n’en sortent que rarement.
Les visiteurs seront donc toujours accompagnés dans leur visite du couvent par des sœurs. Pas question qu’ils viennent corrompre les novices !!
Pour les « oubliées »
-par le cimetière
-en s’enfuyant
-en étant nommée Vestale dans un temple de sa divinité d’origine (piston).
-en étant mariée (sans recherche de consentement) à un bienfaiteur du couvent auquel on fourgue soit une « oie blanche » soit une « initiée » en mission secrète.
-quelques religieuses sortent de cette prison pour les besoins ordinaires du couvent : soit les « gradées », soit les pistonnées, soit les vieilles et moches.
-celles que leurs parents ne peuvent marier faute de dot (les benjamines, les cadettes) et que l’on transforme en bonnes sœurs.
-les moches et les difformes que l’on ne casera jamais
-celles dont l’inconduite est source de scandale : filles mères etc…
Soit ces jeunes filles là restent dans le couvent jusqu’à la fin de leurs jours soit deviennent vestales dans un temple de leur HD. Mais pour cela il y a beaucoup de candidates et peu d’élue : cela se joue donc au piston et au favoritisme.
Le couvent s’inscrit donc dans une logique où les parents ont raison contre les enfants, les riches contre les pauvres, les hommes contre les femmes et les nobles contre tous les autres.
La noblesse de Constance nous AIME. Nous sommes les alliées de l’Ordre. Les Monarty, Saint Pardon et autres nous financent depuis longtemps.
Les Sœurs pratiquent une politique d’équilibre vis à vis des trois familles autant que faire ce peut. Les Sœurs ne permettent pas que les familles poursuivent leur lutte dans le couvent et ne livreront pas une de leur pensionnaire De-Gallin aux Monarty (par exemple) : leur crédibilité en dépend.
DelUma a elle même fait allégeance à Valmelilwa qui l’a aidé dans son forfait.
Inès remplit au départ l’office de Directrice de Conscience ce qui lui permet d’avoir le rp adéquat sans être un personnage trop haut placé.
Si les pauvres filles sont enfermées et deviennent chèvres à vivre entre 4 murs avec des journées toutes identiques (prières, artisanat, repas en collectivité, prières, prières…), la mère supérieure et ses aides se doivent d’avoir une vie sociale :
-recueillir des fonds pour le couvent
-être bien vue de la noblesse locale
-lui rendre service (Vous avez une enfant illégitime ? C’est terrible !Placez la chez nous et personne ne viendra plus vous embêter avec cela !)
-prêcher la vertu, la chasteté, le respect de l’ordre.
Bref notre rp sera : « plus vertueux que moi tu meurs » avec une bonne dose d’hypocrisie car nous devrons apparaître comme des dévotes mondaines, des religieuses de cours.
Derrière ce théâtre d’ombres, le couvent va devenir la façade d’un culte méchant rendu à Valmelilwa dont seule une poignée d’initiées connaîtra l’existence.
Ayant dûment embobiné quelques Sœurs (DelUma, Inès..) Valmelilwa utilisera les relations du couvent pour ses propres buts : placer des jeunes filles sélectionnées et endoctrinées dans les grandes familles ou en tant que vestales est de nature à servir ses intérêts.
Un sous sol avec des cellules prisons (sanctions disciplinaires et /ou religieuses qui fondent définitivement les plombs avec le temps) ou l’on « enterre vivante » les rebelles ou celles que l’on ne peut plus montrer.
Et en bas, tout en bas...un endroit maléfique à la façon du temple de F :La raison d’être du Couvent.
Rumeurs
- Les soeurs de la miséricorde ? Des femmes dévouées qui ne ménagent pas leurs efforts pour éduquer la noblesse.
- Les soeurs de la miséricorde ? Bah, c'est Céphéïde et compagnie tout çà. Ils ont de l'argent et sont bien content de les trouver pour se débarrasser de tous leurs rejetons en trop et de leurs bâtards.
- Paraîtrait que les soeurs de la miséricorde ne sont pas si miséricordieuses que çà. La façon dont elles traitent leurs pensionnaires ressemble plus à la rudesse d'Elya qu'à la compassion d'Isalya. Si vous voulez mon avis elles sont pas claires celles-là.
- Les soeurs de la compassion ? toutes ces femmes cloîtrées dans ce bâtiment, seules toute l'année, quelle misère... Remarquez elles doivent bien s'amuser entre elles là-dedans. Zéphalyn doit y veiller *rire salace*
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Les Sœurs de la Miséricorde.
Description forum
"Les Soeurs de la Miséricorde constituent un ordre religieux qui se consacre à l'éducation des jeunes filles de bonne famille. Le couvent accueille également toutes celles qui se sentant appelées par le divin préfèrent se consacrer à une vie de prières et de spiritualité et vivre loin du monde et de ses tentations.Le couvent des Soeurs est situé à Constance. Les Soeurs sont très liées à la noblesse de Constance et notamment dit-on aux "trois familles". Les mauvaises langues affirment que la noblesse de Constance se défausse systématiquement de ses bâtardes, de ses filles mères, de ses cadettes et de ses infirmes dans ce couvent et que nombre de celles qui ont "choisi de consacrer leur vie à la prière et à la spiritualité" ne se sont vu offrir aucun choix.
Où le couvent est il situé ?
Ce couvent est installé au sein de Constance, dans le quartier des temples. Il existe depuis longtemps. Ses vocations officielles/officieuses/ n’ont pas évolué depuis des décennies:
Qui accueille t’il ?
Le couvent accueille des jeunes filles de toutes les confessions. La sélection sociale est en revanche importante : noblesse et familles riches. + éventuelles exceptions car « les pauvres aussi ont une âme ».
Les novices qui entrent au couvent y sont placées par leurs familles en vue de leur éducation soit parce qu’elles ont « entendu l’appel divin. »
Les novices sortent du couvent à leur majorité pour un mariage arrangé. Beaucoup de celles qui ont « entendu l’appel » sont en revanche des religieuses « malgré elles » : ce sont des bâtardes, des cadettes sans dot, des infirmes, des filles mères que leurs familles veulent cacher et que personne ne songe ensuite à réclamer. Parmi celles là, quelques unes deviennent des vestales dans des temples, d’autres sont mariées à des prétendants nobles eux-mêmes « incasables » à qui leurs familles souhaitent faire prendre femme. La plupart resteront cloîtrées jusqu’à la mort.
Religion
Le couvent accueille les pensionnaires sans restriction religieuse. Les adeptes de Fel, de Cyn..sont notamment priées de mettre un bémol et de se faire discret. En ce qui concerne Zephalyn ses préceptes passent mal parmi des Sœurs ayant fait vœux de pauvreté et de chasteté : Zeph est donc souvent mal vue.Le couvent rend un hommage au Panthéon dans son ensemble et non à un HD en particulier.
Qu’y fait on ?
Les novices sont astreintes à un régime de prières, d’artisanat (broderie…) et reçoivent quelque enseignement.
Le couvent gère partie de la Bibliothèque et des Archives de Constance. Sont affectées à cette tache des religieuses plus toutes jeunes (ou des pistonnées) car les novices n’ont pas vocation à être en contact avec le monde extérieur. La bibliothèque et les archives permettent au couvent d’avoir accès aux secrets pas propres de la noblesse de Constance.
Le couvent est un endroit fermé ! Celles qui y entrent vont pour la plupart y passer leur adolescence ou leur vie entière. Les novices n’en sortent que rarement.
Les visiteurs seront donc toujours accompagnés dans leur visite du couvent par des sœurs. Pas question qu’ils viennent corrompre les novices !!
En sort on ?
A sa majorité en vue d’un mariage pour les unes.Pour les « oubliées »
-par le cimetière
-en s’enfuyant
-en étant nommée Vestale dans un temple de sa divinité d’origine (piston).
-en étant mariée (sans recherche de consentement) à un bienfaiteur du couvent auquel on fourgue soit une « oie blanche » soit une « initiée » en mission secrète.
-quelques religieuses sortent de cette prison pour les besoins ordinaires du couvent : soit les « gradées », soit les pistonnées, soit les vieilles et moches.
Les relations avec le monde extérieur
Le rôle du couvent dans la Cité est l’éducation des jeunes filles pour en faire de bonnes épouses sages et surtout « l’accueil » souvent définitif des jeunes filles nobles qui posent un problème à leurs familles. Cad :-celles que leurs parents ne peuvent marier faute de dot (les benjamines, les cadettes) et que l’on transforme en bonnes sœurs.
-les moches et les difformes que l’on ne casera jamais
-celles dont l’inconduite est source de scandale : filles mères etc…
Soit ces jeunes filles là restent dans le couvent jusqu’à la fin de leurs jours soit deviennent vestales dans un temple de leur HD. Mais pour cela il y a beaucoup de candidates et peu d’élue : cela se joue donc au piston et au favoritisme.
Le couvent s’inscrit donc dans une logique où les parents ont raison contre les enfants, les riches contre les pauvres, les hommes contre les femmes et les nobles contre tous les autres.
La noblesse de Constance nous AIME. Nous sommes les alliées de l’Ordre. Les Monarty, Saint Pardon et autres nous financent depuis longtemps.
Les Sœurs pratiquent une politique d’équilibre vis à vis des trois familles autant que faire ce peut. Les Sœurs ne permettent pas que les familles poursuivent leur lutte dans le couvent et ne livreront pas une de leur pensionnaire De-Gallin aux Monarty (par exemple) : leur crédibilité en dépend.
Hiérarchie
Ce gynécée aurait sa hiérarchie avec à sa tête une Mère Supérieure qui à terme sera supprimée et remplacée par le personnage DelUma.DelUma a elle même fait allégeance à Valmelilwa qui l’a aidé dans son forfait.
Inès remplit au départ l’office de Directrice de Conscience ce qui lui permet d’avoir le rp adéquat sans être un personnage trop haut placé.
Si les pauvres filles sont enfermées et deviennent chèvres à vivre entre 4 murs avec des journées toutes identiques (prières, artisanat, repas en collectivité, prières, prières…), la mère supérieure et ses aides se doivent d’avoir une vie sociale :
-recueillir des fonds pour le couvent
-être bien vue de la noblesse locale
-lui rendre service (Vous avez une enfant illégitime ? C’est terrible !Placez la chez nous et personne ne viendra plus vous embêter avec cela !)
-prêcher la vertu, la chasteté, le respect de l’ordre.
Bref notre rp sera : « plus vertueux que moi tu meurs » avec une bonne dose d’hypocrisie car nous devrons apparaître comme des dévotes mondaines, des religieuses de cours.
Derrière ce théâtre d’ombres, le couvent va devenir la façade d’un culte méchant rendu à Valmelilwa dont seule une poignée d’initiées connaîtra l’existence.
Ayant dûment embobiné quelques Sœurs (DelUma, Inès..) Valmelilwa utilisera les relations du couvent pour ses propres buts : placer des jeunes filles sélectionnées et endoctrinées dans les grandes familles ou en tant que vestales est de nature à servir ses intérêts.
Sécurité
Les entrées du couvent (et surtout ses sorties) sont défendues par les «Soeurs de la Porte » : des Sœurs avec des épaules de docker et armées de gourdins. Ces gardiennes sont là pour faire régner la discipline si besoin est et pour tenir les intrus à l’écart. Les Sœurs de la Porte existent avant la prise de contrôle des lieux par Val.Les lieux
Un déambulatoire avec un jardin en son centre (typique des couvents). Une salle de prières dépouillée. Une bibliothèque. Des cellules ou vivent les religieuses. Un beffroi d'ou l'on voit la ville (la fenêtre sur le monde extérieur).Un sous sol avec des cellules prisons (sanctions disciplinaires et /ou religieuses qui fondent définitivement les plombs avec le temps) ou l’on « enterre vivante » les rebelles ou celles que l’on ne peut plus montrer.
Et en bas, tout en bas...un endroit maléfique à la façon du temple de F :La raison d’être du Couvent.
Rumeurs
- Les soeurs de la miséricorde ? Des femmes dévouées qui ne ménagent pas leurs efforts pour éduquer la noblesse.
- Les soeurs de la miséricorde ? Bah, c'est Céphéïde et compagnie tout çà. Ils ont de l'argent et sont bien content de les trouver pour se débarrasser de tous leurs rejetons en trop et de leurs bâtards.
- Paraîtrait que les soeurs de la miséricorde ne sont pas si miséricordieuses que çà. La façon dont elles traitent leurs pensionnaires ressemble plus à la rudesse d'Elya qu'à la compassion d'Isalya. Si vous voulez mon avis elles sont pas claires celles-là.
- Les soeurs de la compassion ? toutes ces femmes cloîtrées dans ce bâtiment, seules toute l'année, quelle misère... Remarquez elles doivent bien s'amuser entre elles là-dedans. Zéphalyn doit y veiller *rire salace*
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Re: Le couvent
par Theyr Dim 26 Juil - 10:25
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Galerie de PNJ
Voici comme convenu quelques portraits des Sœurs citées dans les récits rp déjà rédigés et qui pourraient vous servir pour des animes.
A tout seigneur tout honneur, Isabeau Saint Pardon a sans doute le plus de potentiel. Isabeau apparaît dans un-deux récits RP d’ambiance. Isabeau appartient à l’une des plus grandes familles de Constance, elle est intelligente, charismatique, mais contrefaite car bossue.
(genre petite brune, au teint olivâtre, cachant sa bosse dans des vêtements amples)
La famille d’Isabeau lui a fait prendre le voile de force, puis a changé d’avis et a intrigué pour la faire nommer première vestale dans un temple afin de servir leurs intérêts.
Isabeau déteste Inès qui en tant que Directrice de conscience lui a rendu la vie difficile pendant ses années de couvent. Isabeau ayant précédé Inès comme amante de la jolie Ambre il existe un lien fait de détestation et de jalousie entre les 2 femmes.
Isabeau ayant quitté le couvent n’est plus sous la coupe d’Inès et a enfin les moyens de lui rendre ses coups d’épingle.
Premier amour d’Inès, Iseult de plusieurs années son aînée s’est hélas vite fanée. A la grande désolation d’Inès, le visage d’Iseult s’est alourdi, ses cheveux ont viré au gris, son corps a changé…tandis que la ½ elfe ne changeait qu’à petites touches.
Inès a fini par tourner le dos à cette compagne qui a alors commencé à perdre l’esprit. Inès promu à ce moment directrice de conscience du couvent n’a rien fait pour protéger Iseult de la réclusion définitive dans la partie du couvent ou l’on enferme celles qui sont devenues folles.
Iseult vit encore, même si Inès n’en veut rien savoir. Iseult est une bonne candidate pour être recevoir les visites de Valmelilwa, devenir plus folle encore et annoncer la venue de la Promise.
Inès a jeté ultérieurement son dévolu sur Una la simple, imaginant qu’elle ne courrait aucun risque avec celle là. La pauvre Una autant en mal de tendresse que n’importe quelle pensionnaire a répondu avec enthousiasme aux caresses d’Inès et a fini par devenir embarrassante jusqu’au jour où, scandale, elle s’est dévêtue et jetée nue en public aux pieds d’Inès pour témoigner de son amour…
Pour se sauver, Inès a fait déclarer possédée la malheureuse qui n’a su se défendre en raison de son intelligence limitée. Una a été exorcisée, battue, enfermée…Depuis Una la simple est un peu plus simple encore et beaucoup plus triste.
Les patriciennes. Quelques compromissions externes d’Inès avec des patriciennes de Constance suffisamment madrées avec lesquelles elle a eu des aventures sans lendemain, sans amour, où chacune tient l’autre par la peur du scandale. D’autres sont simplement des relations que cultive Inès.
Toutes ces femmes appartiennent aux grandes familles constantines et ont le même profil qu’Inès.
Certaines ont eu recours au couvent pour s’y faire avorter ou pour abandonner des enfants adultérins. Ces « amies » soutiendraient elles Inès en cas de difficultés ? Rien n’est moins sûr…
Les Sœurs de la Porte
Elles ont le physique de l’équipe de lancer du poids de l’ex-urss. Elles sont larges, hommasses, brutales, leur recrutement est sans doute différent de celui des novices. Les Sœurs de la Porte sont aussi des religieuses ayant prononcé leurs vœux, elles sont là pour garder les novices DANS le couvent et les curieux/amoureux HORS du couvent.
Peu estimées des autres Sœurs, les Sœurs de la Porte passent pour corruptibles.
Maud
Si les Sœurs de la Porte sont des « lanceuses de poids », Maud est une « championne de natation »….
Maud est grande avec de larges épaules, un visage énergique et agréable qui va bien avec ses cheveux courts et de jolis yeux.
Maud est une des « Sœurs de la Porte ». Si Maud ne commande pas aux Sœurs de la Porte sans doute peut-elle prendre cette place à l’occasion du putsch de Theia.
De toute cette galerie Maud est la plus heureuse. Si Inès a peur du scandale, du « qu’en dira t’on », Maud elle s’assume parfaitement et se sent comme le renard dans le poulailler au milieu de toutes ces femmes…
Avec son physique de bûcheron et un instinct de conquête très masculin, Maud n’est pas une personnalité torturée elle est une invertie qui s’assume. Elle sait se montrer tour à tour, protectrice, caressante, brusque pour parvenir à ses fins.
Appartenant aux Sœurs de la Porte, personne ne la jalouse.
Maud n’est pas comme Inès prisonnière de son nom ou de son envie de paraître. Maud ne se soucie pas de sa réputation à l’extérieur du couvent, elle n’est qu’une sorte de concierge et échappe donc à l’attention des notables dont elle même se moque.
Maud est sur que si scandale il y avait, la disgrâce tomberait plus sur le couvent que sur elle. Enfin Maud ne craint pas tant de perdre sa place, car elle sait se battre et si elle était renvoyée, elle trouverait sans doute un employeur en dehors du couvent.
Ambre (perso secondaire-hench rp)
Fille illégitime issue d’une famille de négociants en grains, Ambre a été placée au couvent et a prononcé ses vœux sous la pression. Ambre est donc vouée à passer sa vie dans le couvent. Ambre est une jeune (16) et fort jolie rousse au doux visage et même sa robe de bure et ses cheveux courts de Sœur ne peuvent cacher cela.
Ambre voudrait tout simplement que quelqu’un l’aime et peut être la sorte de cette prison : Ambre s’est laissée séduire par Isabeau la bossue pour ses deux raisons. Mais Ambre la roturière n’est qu’un passe temps et un exercice de style pour l’ambitieuse Isabeau qui l’abandonne dès lors qu’elle-même peut sortir du couvent.
Profondément déprimée après ce cruel abandon, sans autre perspective que les années sans fin, Ambre est alors cueillie au creux de la vague par Inès qui la guettait depuis longtemps sans oser rien faire.
Ambre est timide en dépit de sa grande beauté, timidité accrue par la méchanceté gratuite des novices de familles nobles destinées à une sortie rapide, alors qu’elle est la bâtarde d’une famille de négociants en grains vouée à passer sa vie entre ses murs.
Ambre aimera donc Inès et ses belles phrases, sa présence rassurante. De façon excessive et sans doute un peu imprudente…
Les fugueuses…
On trouve de tout, la tentative d’évasion bâclée, l’évasion préméditée avec une complicité externe, l’évasion tentée en soudoyant une Sœur de la Porte…
Est ce un couvent ou la ligue des folles ? C’est un couvent, mais comme je l’ai dit il y a longtemps, les vocations n’y sont guère spontanées, on trouve donc les compensations que l’on peut et dans cette galerie il est avant tout question de l’environnement d’Inès.
Galerie de PNJ
Voici comme convenu quelques portraits des Sœurs citées dans les récits rp déjà rédigés et qui pourraient vous servir pour des animes.
A tout seigneur tout honneur, Isabeau Saint Pardon a sans doute le plus de potentiel. Isabeau apparaît dans un-deux récits RP d’ambiance. Isabeau appartient à l’une des plus grandes familles de Constance, elle est intelligente, charismatique, mais contrefaite car bossue.
(genre petite brune, au teint olivâtre, cachant sa bosse dans des vêtements amples)
La famille d’Isabeau lui a fait prendre le voile de force, puis a changé d’avis et a intrigué pour la faire nommer première vestale dans un temple afin de servir leurs intérêts.
Isabeau déteste Inès qui en tant que Directrice de conscience lui a rendu la vie difficile pendant ses années de couvent. Isabeau ayant précédé Inès comme amante de la jolie Ambre il existe un lien fait de détestation et de jalousie entre les 2 femmes.
Isabeau ayant quitté le couvent n’est plus sous la coupe d’Inès et a enfin les moyens de lui rendre ses coups d’épingle.
Premier amour d’Inès, Iseult de plusieurs années son aînée s’est hélas vite fanée. A la grande désolation d’Inès, le visage d’Iseult s’est alourdi, ses cheveux ont viré au gris, son corps a changé…tandis que la ½ elfe ne changeait qu’à petites touches.
Inès a fini par tourner le dos à cette compagne qui a alors commencé à perdre l’esprit. Inès promu à ce moment directrice de conscience du couvent n’a rien fait pour protéger Iseult de la réclusion définitive dans la partie du couvent ou l’on enferme celles qui sont devenues folles.
Iseult vit encore, même si Inès n’en veut rien savoir. Iseult est une bonne candidate pour être recevoir les visites de Valmelilwa, devenir plus folle encore et annoncer la venue de la Promise.
Inès a jeté ultérieurement son dévolu sur Una la simple, imaginant qu’elle ne courrait aucun risque avec celle là. La pauvre Una autant en mal de tendresse que n’importe quelle pensionnaire a répondu avec enthousiasme aux caresses d’Inès et a fini par devenir embarrassante jusqu’au jour où, scandale, elle s’est dévêtue et jetée nue en public aux pieds d’Inès pour témoigner de son amour…
Pour se sauver, Inès a fait déclarer possédée la malheureuse qui n’a su se défendre en raison de son intelligence limitée. Una a été exorcisée, battue, enfermée…Depuis Una la simple est un peu plus simple encore et beaucoup plus triste.
Les patriciennes. Quelques compromissions externes d’Inès avec des patriciennes de Constance suffisamment madrées avec lesquelles elle a eu des aventures sans lendemain, sans amour, où chacune tient l’autre par la peur du scandale. D’autres sont simplement des relations que cultive Inès.
Toutes ces femmes appartiennent aux grandes familles constantines et ont le même profil qu’Inès.
Certaines ont eu recours au couvent pour s’y faire avorter ou pour abandonner des enfants adultérins. Ces « amies » soutiendraient elles Inès en cas de difficultés ? Rien n’est moins sûr…
Les Sœurs de la Porte
Elles ont le physique de l’équipe de lancer du poids de l’ex-urss. Elles sont larges, hommasses, brutales, leur recrutement est sans doute différent de celui des novices. Les Sœurs de la Porte sont aussi des religieuses ayant prononcé leurs vœux, elles sont là pour garder les novices DANS le couvent et les curieux/amoureux HORS du couvent.
Peu estimées des autres Sœurs, les Sœurs de la Porte passent pour corruptibles.
Maud
Si les Sœurs de la Porte sont des « lanceuses de poids », Maud est une « championne de natation »….
Maud est grande avec de larges épaules, un visage énergique et agréable qui va bien avec ses cheveux courts et de jolis yeux.
Maud est une des « Sœurs de la Porte ». Si Maud ne commande pas aux Sœurs de la Porte sans doute peut-elle prendre cette place à l’occasion du putsch de Theia.
De toute cette galerie Maud est la plus heureuse. Si Inès a peur du scandale, du « qu’en dira t’on », Maud elle s’assume parfaitement et se sent comme le renard dans le poulailler au milieu de toutes ces femmes…
Avec son physique de bûcheron et un instinct de conquête très masculin, Maud n’est pas une personnalité torturée elle est une invertie qui s’assume. Elle sait se montrer tour à tour, protectrice, caressante, brusque pour parvenir à ses fins.
Appartenant aux Sœurs de la Porte, personne ne la jalouse.
Maud n’est pas comme Inès prisonnière de son nom ou de son envie de paraître. Maud ne se soucie pas de sa réputation à l’extérieur du couvent, elle n’est qu’une sorte de concierge et échappe donc à l’attention des notables dont elle même se moque.
Maud est sur que si scandale il y avait, la disgrâce tomberait plus sur le couvent que sur elle. Enfin Maud ne craint pas tant de perdre sa place, car elle sait se battre et si elle était renvoyée, elle trouverait sans doute un employeur en dehors du couvent.
Ambre (perso secondaire-hench rp)
Fille illégitime issue d’une famille de négociants en grains, Ambre a été placée au couvent et a prononcé ses vœux sous la pression. Ambre est donc vouée à passer sa vie dans le couvent. Ambre est une jeune (16) et fort jolie rousse au doux visage et même sa robe de bure et ses cheveux courts de Sœur ne peuvent cacher cela.
Ambre voudrait tout simplement que quelqu’un l’aime et peut être la sorte de cette prison : Ambre s’est laissée séduire par Isabeau la bossue pour ses deux raisons. Mais Ambre la roturière n’est qu’un passe temps et un exercice de style pour l’ambitieuse Isabeau qui l’abandonne dès lors qu’elle-même peut sortir du couvent.
Profondément déprimée après ce cruel abandon, sans autre perspective que les années sans fin, Ambre est alors cueillie au creux de la vague par Inès qui la guettait depuis longtemps sans oser rien faire.
Ambre est timide en dépit de sa grande beauté, timidité accrue par la méchanceté gratuite des novices de familles nobles destinées à une sortie rapide, alors qu’elle est la bâtarde d’une famille de négociants en grains vouée à passer sa vie entre ses murs.
Ambre aimera donc Inès et ses belles phrases, sa présence rassurante. De façon excessive et sans doute un peu imprudente…
Les fugueuses…
On trouve de tout, la tentative d’évasion bâclée, l’évasion préméditée avec une complicité externe, l’évasion tentée en soudoyant une Sœur de la Porte…
Est ce un couvent ou la ligue des folles ? C’est un couvent, mais comme je l’ai dit il y a longtemps, les vocations n’y sont guère spontanées, on trouve donc les compensations que l’on peut et dans cette galerie il est avant tout question de l’environnement d’Inès.
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