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[A2][Histoire]épreuve de Calinde

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Message par Theyr Dim 26 Juil - 10:05

Que feriez-vous ? (1)

Vous êtes passager d'un avion qui va s'écraser. Ce n'est pas un avion à réaction donc vous avez la possibilité de sortir en parachute. Vous faites la queue comme les autres passagers pour prendre l'un des parachutes que distribue l'équipage. Il y a un problème. Ceux qui vous précèdent sautent déjà dans le vide. Mais vous êtes avec un bébé de 4 mois, trop grand donc, pour être glissé dans vos habits. Vos deux mains doivent rester libres pour (a) déclancher l'ouverture de secours au cas où le parachute ne se déploie pas  automatiquement (b) guider la chute si un danger se présente au sol. Le bébé pleure. Ceux qui vous suivent vous poussent en avant. Quelqu'un vous aide à ajuster le harnais, et vous rend votre bébé. Même si vous teniez le bébé à deux mains et quevous priiez pour avoir une descente sans histoire, il y a de grandes chances pour qu'il vous échappe au moment du saut.
Dans quelques secondes, il sera trop tard pour sortir de l'avion.

(2)

Vous avez été amené dans un bureau de l'Inquisition. On vous dit que vous pouvez sauver la vie de toute votre famille si vous voulez coopérer. Vous acceptez.
Il y a une table couverte d'un linge. On ôte le linge. La table est couverte d'une foule d'objets : une tétine de bébé ; une arbalète ; un gros livre : ; deux couvertures ; un pot de miel ;  quatre flacons vierges ; une blague à tabac ;
une broche émaillé où se lit, en bleu sur fond or, le chiffre 34, un automate, un éventail.
On dit que vous n'avez qu'à choisir l'objet approprié, pour que vous et votre famille soyez libérés. Vous voyez tous ces objets pour la première fois. Vous le dîtes. Bien sûr.
On est bien d'accord, on le sait, mais il faut choisir. Vous regardez bien les objets pour essayer de deviner ce qu'ils signifient.

(3)

Vous revenez du théatre, ayant passé une agréable soirée avec l'élue de votre coeur. Vous êtes dans le centre de la ville et il vous faut un taxi.. Vous décidez de vous rendre à la gare principale, sûr d'y trouver un taxi. Vous pénétrez par une entrée secondaire. Devant vous, il y a un escalier, et un vieillard tente de le gravir. Il est de tout évidence, ivre à ne plus pouvoir bouger. En temps normal, vous l'aideriez à remonter les marches, ma&is justement il y a un problème. Ses pantalons rabattus sur ses chevilles dénudent des jambes rpoussantes. Plusieurs morceaux de papier de journal couverts d'excréments saillent de son postérieur. L'aider serait une entrprise salissante, c'est le moins qu'on puisse dire, et vous n'avez pas envie de ternir la bonne atmosphère de la soirée. Encore une seconde ou deux, vous l'aurez dépassé, vous poursuivrez votre chemin.

(4)

Vous voulez échapper à un ennemi. Vous vous êtes hissé au sommet d'un toit pointu, couvert d'ardoises, sur une maison de plusieurs étages. Vous glissez mais parvenez à vous raccrocher au faîte du toit. Vous voulez remonter, mais vos pieds glissent sur les ardoises mouillées. En contrebas, vous remarquez une gouttière de plomb. Allez-vous prendre le risque de vous laisser glisser le long du toit, tant que vos doigts ont encore quelque force, espérant ainsi attrapper la gouttière au passage  avant de chercher refuge ailleurs ? Ou bvien akkez-vous essayer encore de vous hisser vers le faîte du toit ? Car il y a le risque que la gouttière cède sous votre poids. A moins que votre ennemi, ayant découvert où vous étiez, n'avance vers vous le long du toit.

(5)

Vous avez trois enfants. L'un a huit ans. C'est une fille. L'un a six ans. C'est une fille. L'un a quelques mois. C'est un garçon. On vous dit que vous pouvez en sauver deux de la mort, mais pas les trois. On vous donne 5 minutes pour choisir. Lequel allez-vous sacrifier ?

(6)

Vous habitez une ville. Une catastrophe a entraîné l'effondrement de la société telle que vous
 la connaissez.Vous habitez une ville. Une catastrophe a entraîné l'effondrement de la société telle que vous la connaissez.
 Les services publics n'existent plus. Fini également l'approvisionnement en eau.
Les rats et toutes sortes de vermines prolifèrent dans les tas d'ordures non déblayées qui infectent la ville.
Les maladies sévissent. Vous avez entendu dire qu'à la campagne la situation est également mauvaise.
 Les étrangers y sont agressés et tués lorsqu'ils essaient de s'y installer.
 En un sens la campagne est plus dangeureuse que la ville dont les rues sont hantées par des meutes dde femmes
 et d'hommes féroces.
 Préférez-vous vous réfugier à la campagne et tenter votre chance en pleine brousse, ou organiser votre vie, votre sécurité et celle de votre famille dans une ville qui vous est familière ?
(7)

Vous vous exilez : vous fouyez un régime politique qui vous mettra à mort, vous et votre famille, si l'on vous trouve.
Vous arrivez à entrer au port, vous mettez votre femme et vos enfants sur un canot en leur disant de se trouver une place sur le navire en partance pendant que vous chargez les bagages.
Vous arrivez à les hisser sur le bateau juste au moment où celui-ci se lance.
Vous posez le tout au plus près pour vous mettre en quête de votre famille.
Vous cherchez partout sur le navire : ils ne sont pas là.
Quelqu'un vous dit que plusieurs navires sont partis et que les autres ont une destination différente.
Seraient-ils monté sur un autre bateau ? Qu'allez-vous faire ?
Sauter pour rejoindre le port à la nage en abandonnant vos bagages ? Attendre la première étape et y déposer vos bagages et prendre le navire suivant dans l'autre sens ?
Espérer que votre famille ne perdra pas la tête et vous rejoindra au but de votre voyage par le prochain navire ?

(Cool

Vous êtes un blanc et vous habitez une cité à majorité noire.
Les brimades, le manque d'écho à leurs revendications suscitent la colère des noires qui s'organisent et prennent le contrôle de la ville.
Une faction des blancs réagit par la violence et les noirs répliquent en lynchant deux personnalités blanches auxquelles ils ont des raisons particulières d'en vouloir.
Et maintenant c'est l'émeute, on veut faire couler le sang des blancs.
L'émeute approche de votre quartier. On casse, on brûle, on bât les blancs.
Quelques uns ont été battus à mort. Il vous est impossible de contacter vos amis noirs pour demander leur aide, car vous ne savez pas où ils sont.
Allez-vous vous cacher chez vous en espérant que l'émeut vous epargnera ?
Allez-vous tenter votre chance dans la rue en espérant trouver un ami noir qui se portera garant de vous ?
Allez-vous prêter main forte aux autres blancs qui s'organisent contre l'ennemi ?
Essaierez-vous d'apaiser les esprits ? Où bien allez-vous simplement aider ceux de votre race à tuer les noirs les noirs qui les attaquent ?
Ou bien allez-vous attaquer les blancs dans les rangs des noirs, ainsi vous faire accepter ?

(9)

Vous avez appris qu'il vous reste tout au plus un an à vivre. Qu'allez-vous faire de cette année :
Profiter de toutes les occasions de plaisir ?
entreprendre de bonnes oeuvres ?
savourer, dans une calme retraîte, les plaisirs simples de la vie ?
Vous lancer dans une grande entreprise dont la postérité se souviendra ?
Investir toutes vos ressources dans la recherche d'un traitement ?
Ou bien allez-vous tout simplement vous tuer, histoire d'en finir et qu'on en parle plus ?

(10)

Vous êtes marié, vous avez une petite famille et vous habitez en ville un petit logement pas trop éloigné de votre travail. Vous apprenez que votre mère est tombée très malade et qu'elle ne peut plus se passer d'aide. Puisque vous vivez déjà à l'étroit. Vous n'avez pas envie de la voir s'installer chez vous, d'autant qu'elle n'est pas particulièrement gentille et qu'elle a une propension à énerver les enfants et à agacer votre femme. La maison de votre mère est plus grande, mais situé dans un endroit qui vous déprime et qui de surcroît, est loin de votre travail. Vous averz toujours juré que vous ne la laisseriez pas aller à l'hospice. Vous savez qu'elle serait atrocement malheureuse. Mais toute autre décision entrainerait un changement radical dans votre vie. Allez-vous vendre le logement de votre mère pour acheter un logement plus vaste dans votre quartier ? Allez-vous emménager dans un coin totalement différent peut-être même dans une autre région du pays et chercher un nouveau travail ? Ou bien allez-vous décider qu'il vaut lmieux pour le bien de tous, qu'elle aille à l'hospice ?

(11)

Une fille de votre connaissance est enceinte. Nécessairement ou presque, c'est vous le père.
La fille ne sait pas trop si elle veut garder le bébé ou non.
Elle vous demande de l'aider à se décider.
Allez-vous la convaincre de se faire avorter ? Allez-vous la convaincre de garder le bébé ? Allez-vous lui proposer de lui venir en aide si elle garde le bébé ? Allez-vous nier que le bébé soit de vous et ne plus vouloir entendre parler de la fille ? Si elle décide de se faire avorter allez-vous payer les plantes rares et l'alchimiste ? Allez-vous lui dire que c'est à elle seule de décider et refuser d'en discuter ?

(12)

Vous êtes prêtre, profondément pieux, rien ne vous attriste tant que l'idée même de la violence.
Dans tous les sens du terme vous êtes un pacifique. Un matin, vous coupez du pain dans une petite salle du temple.
Vous vous y précipitez, sans toutefois avoir lâché le couteau.
Un soldat du pays qui actuellement occupe le vôtre est en train de violer une fille de treize ans.
Il l'a frappée, il lui arrache ses vêtements. Il s'apprête à la pénétrer.
Elle pleurniche, il grogne. Vous reconnaissez la fille, elle est de votre paroisse.
Indubitablement, elle est entrée dansle temple pour que vous la secouriez.
Vous criez, mais le soldat ne vous entend pas, apparemment.
Vous le suppliez de cesser, rien n'y fait.
Si vous tuez le soldat à l'aide de votre couteau, la fille ne sera pas violentée.
Peut-être même sa vie sera-t'elle sauvée. Personne ne sait que le soldat est entré dans le temple.
Il ne vous serait pas difficile de cacher le corps. Si vous vous contentez de le frapper
-si même cela est possible- il va sans doute se venger de façon horrible sur vous, votre temple et ses fidèles.
C'est déjà arrivé dans d'autres villes. Mais vous voulez sauver la fille. Que feriez-vous ?

(13)

Vous avez un chien. Vous en avez hérité, voici quelques années d'un ami. L'ami vous a demandé de vous en occuper un moment, mais il n'est jamais revenu. Le chien devient vieux. Il ne vous a jamais énormément plu, mais vous avez de la sympathie pour lui. Ses dents commencent à se déchausser, il fait des bruits particulièrement écoeurants, il a du mal à manger et parfois ses pattes sont si raides que vous devez le porter dans l'escalier. Ce chien se comporte plutôt comme un roquet. Il n'a jalais eu la noblesse de caractère qu'on attend parfois des chiens. Il est nerveux, froussard, et braillard. A cause de cette raideur dan sles pattes, vous l'emmenez chez un guérisseur. Le chien a déjà dépassé de plusieurs années son espérance de vie. Il ne voit plus très clair, et il est dur d'oreille. Vous avez la possibilité de demander au guérisseur d'en finir. Et pourtant, en temps normal le chien ne souffre pas. Le guérisseur dit qu'il a encore une année tranquille à passer. L'idée d'assister aux derniers instants du chien, à l'heure de sa belle mort, vous répugne. Vous n'avez qu'assez peu d'affection pour lui. Il vaudrait mieux que le guérisseur en finisse tout de suite. Qu'allez-vous lui dire ?

(14)

Vuos êtes attiré(e) par une fille de dix-sept ans, qui est la fille d'amis d'un parent de vous.
Elle vit avec ses parents dans le pays.Vous ne manquez pas une occasion de la voir (vous n'êtes pas tellement plus âgé qu'elle), mais malgré quelques sorties dans des soirées très bien et, une autre fois, au théatre, vous n'êtes pas sûr de ses sentiments à votre égard. Plus vou sla voyez, plus vous avez envie de la courtiser. Toutefois, vous vous rendez-compte qu'elle est encore très jeune et répugnez au rôle de séducteur. Pour être parfaitement heureux, vous aimeriez qu'elle fasse le preimer pas. Mais elle est timide. Exactelent comme vous. Et elle attend peut-être de vous, ce premier pas. Un jour vous passez près de l'endroit où elle vit avec ses parents ; vous décidez de passer chez eux et de demander s'ils peuvent vous garder pour la nuit, en raison de l'heure tardive. Avec l'arrière-pensée qu'enfin vous trouverez sur place l'occasion de coucher avec la jeune fille. Vous êtes devant la maison. C'est la mère qui vous ouvre, une dame de quarante ans ou moins, très séduisante. Vous lui débitez votre histoire et elle vous assure que vous pouvez rester aussi longtemps que vous voudrez. Elle regrette que vous ne puissiez pas voir son mari, car il est parti pour quelques jours en voyage d'affaires. Sa fille est sortie "avec un de ses petits amis". Vous êtes déçu. Vous dinez donc avec la mère et buvez pas mal de vin. La mère ne dissimule pas qu'elle vous trouve très séduisant. Après diner, vous vous asseyez tous deux sur un divan, et vous vous retrouvez mains dans les mains avec la mère. Vous êtes partagé. Elle est attirante et, indubitablement, vous avez envie de faire l'amour, mais vous craignez de vous mesurer à son expérience. Deuxièmement, vous sentez que si vous couchez avec elle, la situation sera tellement compliquée que plus jamais vous ne pourrez faire l'amour avec la fille, avec qui vous savez que çà ne serait pas très difficile. Mais, en même temps, vous avez besoin de la complaisance de la mère. Allez-vous vous lever du divan et invoquer un prétexte pour aller vous coucher ? Allez-vous continuer à faire la cour à la mère et en rester là sous le prétexte que vous seriez trop soul pour aller plus loin ? Allez-vous simuler un malaise ? Allez-vous conformément à votre désir, coucher avec la mère, en dépit de la situation qu'il en résulterait inévitablement ? A moins que vous n'espériez que la fille, allumée par votre aventure avec sa mère, exprime clairement son envie de coucher avec vous (on vous a dit que ces choses-là arrivent) ? Ou bien allez-vous, devant l'ampleuir du problème, quitter la maison et décider de ne plus jamais revoir qui que ce soit de cette famille ?

(15)

Vous vivez dans un pays pauvre, bien que relativement vous soyez plutôt riche.
Le pays connaît la famine et les gens meurent de faim. Vous voulez les aider.
Vous pouvez donner dans les 5000 pièces d'or aux autorités du village.
Mais les habitants sont deux cents. Si vous partagez entre eux l'argent, ils auront de quoi tenir pendant quatre jours.
Allez-vous donc donner cet argent aux plus nécessiteux ?
A condition qu'il aille aux plus nécessiteux ?
A condition qu'il soit dépensé pour les enfants ?
Ou bien allez-vous choisir quelques personnes qui vous semblent particulièrement méritantes ?
Ou bien allez-vous le leur confier en leur demandant de le partager comme ils l'entendent ?

(16)

Vous avez été avec votre soeur, capturé par vos ennemis. Des ennemis sans scrupules.
Ils veulent obtenir de vous des renseignements concernant vos amis.
Ils disent que la sécurtié de votre soeur dépend de vous. Si vous leur dites ce qu'ils veulent savoir, ils vous libèreront.
Sinon, ils vont vous humilier, vous terroriser et vous torturer de toutes les façons qu'ils peuvent imaginer.
Vous savez qu'au cas où ils mettraient la main sur vos amis, ils réserveraient le même sort à certains d'entre eux au moins, mais peut-être aussi à tous.
Qui allez-vous trahir ?

(17)

Vous traversez le désert. Vous avez eu un accident. L'essieu de votre chariot s'est brisé, votre monture est morte et votre compagnon a été gravement blessé.
Il va vraisemblablement mourir. Allez-vous rester auprès de lui en espérant que les secours ne tarderont pas trop ?
Allez-vous lui laisser toute l'eau dont vous disposez, l'installer aussi confortablement que possible et partir chercher du secours, tout en sachant qu'à votre retour il serait probablement mort ?
Allez-vous décider, puisqu'il est pratiquement mort, de prendre toute l'eau et les vivres avec vous, pour mettre toutes les chances de votre c$oté ?
Allez-vous décider de rester à l'ombre du chariot en sachant que la solution précédente serait la meilleure, et de ne pas gaspiller l'eau en la donnant à votre ami qui agonise ?

(18)

A la demande du guérisseur, votre père est allé à l'hospice. Il a mal dans sa poitrine, à l'estomac et à la gorge.
A l'hospice, on lui a dit qu'il a un genre de rhumatisme et on lui prescrit un certain traitement.
Vous recevez une missive du guérisseur vous demandant de passer le voir.
Le guérisseur vous dit que votre père est en fait en train de mourir. Il a tout au plus un an à vivre.
Le guérisseur dit que c'est à vous de décider ou non d'en informer votre père. Lui, le guérisseur, ne peut assumer cette responsabilité. Votre père aime la vie et a peur de la mort.
Allez-vous dire toute la vérité à votre père ? Allez-vous lui dire une partie seulement de la vérité, et lui affirmer qu'il a une chance de guérir ? Allez-vous décider que votre père, pour sa tranquilité, doit tout ignorer ?
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